La parflure n’était pas quinquette mais le rififi se goinffrait des crognoules. Certains bourmifflaient en quinquonce quand d’autres cramagnoules d’amenuisette vivipostulaient en croutant. Jamais pareille faladelle n’avait osé contrejouiver ainsi. Derrière les jaffregnoles, marvelures et poulaquines flavaudaient leurs coulomières, et chacun se duivait les foulquins pour s’acoquiner aux tremplettes. Seules quelques pastenouelles qui décroutaient le cachoulet rappelaient aux glonvanches le prix des mascassiers.
Ce procédé ingénieux m’a permis, en démontrant combien la langue francaise pourrait être dégoutante et sa lecture un supplice, de m’assurer que vous appréciez par contraste d’autant plus la suite de l’article.
Néanmoins, comme vous m’ennuyez et que cet article est essentiellement destiné à contrecarrer la gaussianité de cette courbe de fréquentation,
je vais m’en tenir à du commentaire de photo destiné a faire la promotion de la Colombie britannique.
Vous croyez sans doute connement que cette tour se contente d'être la plus haute tour de Vancouver. C'est hélas complètement faux, puisque tout son intérêt réside dans l'un de ses résidents. Le dernier étage abrite en effet les appartements privés d'un acteur triplement décoré à Cannes pour "un jeu complexe, une polyvalence inégalée, et une profondeur insaisissable", j'ai nommé Jackie Chan.
Je ne crois pas avoir montré la plage qui borde le campus. La voilà. Derrière le mur d'arbre il y'a l'université de British Columbia, qui est "un endroit d'esprit". Comme le prouve ce clip de l'université :
Et ouais, ils peuvent défendre les droits de l'homme. Parce que eux c'est le genre d'université qu'a pas peur de se mouiller et de prendre des positions à contre-courant.
Ca c'est un aperçu de la vue qu'on a sur la route de Whistler (La station de ski, pour les hérétiques qui n'ont pas lu le précédent article). L'eau qu'on voit est le bras de mer qui fait honneur à vancouver, et non pas le bras d'honneur que vancouver fait à sa mère, comme trop de gens le croient souvent.
La chambre Hilton-like à laquelle nous avions accès ce weekend avec le voyage du ski and board club. (Eh puisque je parle de Hilton je pourrais peut etre glisser une blague sur DSK non ? allez comme ca je pourrais me distinguer un peu de l'humour mainstream de ces temps-ci.) MAis je n'ai pas rencontré la FEMME DE CHAMBRE !!!!!!!!!!!!!!!! Hahaha, ce que je rigole !
Vous apercevrez, si vous prêtez un peu attention à la fenêtre, le reflet de la lampe dans le rectangle du milieu.
Je reviens rapidement sur cette histoire d'aquarium de Vancouver pour vous présenter la "grenouille tomate", dont le nom explicite suffisamment l'intérêt.
Le Saumon sauvage disparait dans l'indifférence générale. J'ai eu beau éplucher le programme de Marine le Pen, je n'ai trouvé aucune référence au problème. Il serait peut-être temps de réagir.
Je n'ai pas encore eu l'occasion de vous présenter les "cygnes à eau" comme on les appelle ici. A mi chemin entre le cygne et le tuyau d'arrosage, ces bestioles expirent de l'eau par le sommet du crâne, à la manière d'un rorqual.
Voilà, cette opération de communication est terminée. Vous aurez noté l'introduction d'un nouveau procédé révolutionnaire de lien hypertexte associé à certains mots, remarquablement plagié par mes soins sur d'autres blogueurs expatriés.
Vous pouvez aller sur Picasa pour voir que je n'y ai pas ajouté de photo depuis la dernière fois.
En tout cas, ta chambre d'hôtel n'est pas très bien rangée.
RépondreSupprimerje giggle je giggle. je guette le giggle.
RépondreSupprimerCe pauvre Pierre DAC doit se retourner dans sa tombe...
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